Galvanisés par une dynamique ascendante, les partisans de l’indépendance de l’Écosse ont vu leurs espoirs douchés par la victoire (55 %) des unionistes lors du référendum d’autodétermination du 18 septembre. Ce résultat en demi-teinte illustre tant les perspectives et que les limites de la stratégie de rupture par la gauche conduite par le camp du « oui ».