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Quand la crise tue : fatale austérité

par Maurice Magis, mai 2013

Faut-il qu’ils soient peu fiers d’eux pour agir ainsi en catimini. Faut-il qu’ils soient peu sûrs de leur coup pour manoeuvrer subrepticement, en douce, comme un peu – oh, si peu… – gênés de leurs manigances. Qui ? Mais
tous ces décideurs non-élus qui, de leur sommet autocratique, attendent le soutien d’une majorité d’élus, convaincus ou disciplinés, au mieux ignorants de la portée de leurs actes. Mais au bout du compte, complices des forfaits qu’ils couvrent de leurs votes. Forfaits. Le mot n’est pas trop fort quand les uns, à la manoeuvre, et les autres, auxiliaires résignés, se retrouvent pour asséner qu’il n’est pas d’alternative à l’austérité. Et, partant,pour faire payer la crise du système dominant aux peuples et exonérer le capital de ses délits. Voire de ses crimes quand, comme en Italie, en avril dernier, trois personnes, à bout d’espérance, se suicident, noyés dans leurs difficultés financières.



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