Les mesures antisociales prises par l’actuel gouvernement Michel Ier n’ont pas manqué de provoquer une vigoureuse réaction du mouvement syndical mais aussi de la gauche dans son ensemble. Que l’on songe, pour s’en persuader, à la participation à la manifestation du 6 novembre dernier ou aux différentes grèves tournantes de ces dernières semaines. À l’approche de la grève générale du 15 décembre, Marc Goblet, secrétaire général de la FGTB, a même annoncé que si la coalition kamikaze s’obstinait dans cette voie, la grève pourrait se poursuivre « au finish ».