Généralement, lorsqu’on pense la conscience en termes politiques, on envisage une sorte de d’interface entre l’individuel et le collectif, le lien privilégié entre le psychique et le social, l’individuel et le collectif. Dans une vision classique des choses, c’est parce qu’on prend conscience des affaires du monde qu’on peut avoir une prise sur elles.