Jamais campagne présidentielle n’aura entraîné une telle inflation de dépenses électorales. Pour autant,
il faudra attendre le 5 février et le « super tuesday » pour connaître – peut-être – les deux adversaires en
lice en novembre. Une constante, toutefois, se dégage : les Américains ont hâte de se « libérer » de la
présidence Bush. Tous les candidats ont donc ce même mot à la bouche : changement. Avec plus ou
moins de conviction.