Dans une Amérique latine qui a largement viré à gauche, le Bolivien Evo Morales vient de
décider de rendre à son pays le contrôle de ses hydrocarbures. La nouvelle a fait l’effet d’une
bombe. Mais cette décision trouve sa place dans une réappropriation par plusieurs Etats de
leurs ressources naturelles, pillées par les multinationales.