Fin mai 2005, 54,7 % français rejetaient le projet de Constitution européenne fondée sur « la
concurrence libre et non faussée ». Les électeurs néerlandais allaient suivre. Le texte était mis –
provisoirement ? – au rancart. Mais les « élites » européennes n’ont pas abandonné leur
ambition de couler tout l’édifice européen dans le béton du libéralisme.