La position du président syrien Bachar Al-Assad est "moins tenable" chaque jour, a finement observé récemment la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton. Dans un Proche-Orient traversé, comme l’Afrique du Nord, par une vague contestataire, et à l’égard d’un dictateur qui tente de mater son opposition à coups de canons, la formule peut sembler légère. on aimerait pourtant entendre de tels mots, même trop "politiquement corrects", qualifier le comportement des colonisateurs en place à Tel Aviv. Mais on n’en est pas là a Washington. (...)