« Mais que fait donc Faust, appuyé sur la ‘force ‘ du diable, sinon libérer ses pulsions et réussir ‘ à balayer de proche en proche tout ce qui l’entravait dans son développement ‘ : ce qui est le principe du divin marché. »Dans l’oeuvre célèbre de Goethe, le diable ne présente-t-il pas la monnaie comme un substitut à l’alchimie, la pierre philosophale qui permet de satisfaire toutes les envies matérielles ? Au risque d’y perdre âme et vie au nom d’une « modernité » que le sort de l’humanité indiffère totalement.