De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer les risques d’une guerre civile en Irak. Les
affrontements se poursuivent malgré les appels au calme de différents dirigeants. De graves
incidents à caractère politico-religieux ensanglantent le pays. Le cycle vengeance-représailles,
déclenché par la destruction de la mosquée d’or de Samarra, haut lieu du chiisme, a provoqué la
mort de centaines de personnes. Et George Bush doit admettre qu’il n’entrevoit pas la fin des
violences.