Cette analyse part du constat que le "miracle internet", révolution numérique a échelle mondiale depuis quasi deux décennies, a des travers de plus en plus manifestes en matière de contrôle sur l’utilisateur lambda. L’oxymore de "liberté surveillé" serait le terme approprié pour parler de la face sombre d’Internet et de ses réseaux sociaux tels que Facebook. Contrôle de l’Etat, avec l’aide de sociétés privées occidentales, sur les opposants aux régimes dictatoriaux lors des soulevements arabes, contrôle des sociétés commerciales de nos informations privées échangées sur notre compte facebook, la priorité première d’internet qui est de s’échanger des informations et de communiquer plus aisément entre nous serait-elle finalement pervertie ?